en collaboration avec Vassilis Alexakis pour France-Culture, dans Télérama, 30 mars 1988 :
« La musique de J-Y Bosseur accompagne l’errance et les souvenirs de l’auteur. Au début, la clarinette et les vents, qui poussent au large, puis le piano, une voix, comme un chant de sirène qui rappelle au pays. Plus tard viendra le violoncelle, la corde tendue qui retient prisonnier et qui chante. La facture de cette musique est française et contemporaine, les thèmes en sont grecs, populaires ou religieux. […] Ici tout affleure comme dans un voyage intérieur. »