Comme La complainte de l’anneau, cette partition fait partie d’un cycle de compositions réalisées à partir de chants traditionnels bretons mais, dans ce cas, en langue bretonne.
En 2014, j’en ai repris des fragments dans En mémoire de Robardig, pour orgue de Barbarie, à la suite d’une proposition de Wilfried Deurre. En 2016, j’ai composé une nouvelle partition pour une chanteuse traditionnelle, Nolwenn Evenou, et orgue, Plezennoù (entrelacs).