dans Diapason, juillet 1969 :
« …Le tachisme et le recours à l’aléatoire sont chez J-Y Bosseur au service d’un véritable tempérament musical. Ce jeune musicien parle la langue de son temps. S’il n’a pas encore accès au chef-d’oeuvre, qui le lui reprocherait ? On peut, on doit lui faire confiance. »