dans Le Monde, le 26 octobre 1971 :
… »mêlant à des fragments de danses des XVIe et XVIIe siècles, au gré d’un texte lu en vieux français, des jeux modernes de timbres et d’improvisation sur le vif ; une « action » sans queue ni tête, puisant sans vergogne dans le temps et l’espace ce qui plait à sa fantaisie. Après avoir gagné son sourire et stimmulé sa curiosité pendant plus d’une heure, J-Y Bosseur laisse l’auditeur fort indécis à l’issue de son Completely sweet…Car il y a plus, dans ce divertissement débraillé, qu’une falsification réussie, fourmillant d’idées originales : la métamorphose d’oeuvres d’hier en musique d’aujourd’hui possède la poésie d’un conte et libère l’imagination dans le futur comme le « il y aura une fois » surréaliste. »