4 guitares (8′)
Conservatoire de Boulogne, mai 1994
Pour Quatre guitares (1993), j’ai utilisé plusieurs modes de notation capables de donner l’impression de caractères temporels plus ou moins flexibles; une écriture en réseaux de densités variables, d’où se dégagent des effets statistiques; des notations non mesurées susceptibles de favoriser à la fois l’écoute individuelle de chaque instrument, de ses résonances, et d’aiguiser l’écoute globale, sans être asujettis à une métrique uniforme; une surimpression de modules mélodiques mesurés mais joués et éventuellement répétés sans strict synchronisme entre les parties. La partition devient ainsi un parcours entre divers types de communication, plus ou moins souples, qui peu